D’innombrables personnes décrivent le bonheur, la joie et la paix qu’elles ont ressenti lors de leur EMI, en particulier en présence de la Lumière, parfois personnalisée par « l’Etre de lumière ». Ce bonheur n’était pas lié au fait d’avoir ou de faire quelque chose, mais au fait d’être en présence de cette Lumière aimante qui les baignait, les imprégnait et les remplissait.
« Je n’éprouvais aucun stress, je ressentais plus d’amour que j’aurais pu en imaginer. J’avais plus de joie, de bonheur que lors des jours les plus lumineux offerts ici-bas. Si une âme peut sourire, alors la mienne le faisait. J’étais bien, sans souci ».
« La lumière s’est rapprochée de moi jusqu’à m’envelopper. En cet instant j’ai éprouvé paix, joie et tendresse absolue, comme si cette lumière me consumait et me conférait une sérénité totale. J’ai fait l’objet d’un amour illimité. Je me sentais accueilli, aimé inconditionnellement, pardonné pour toutes mes erreurs dans la vie. J’étais uni à la lumière et empli de bonheur ».
« Je me suis sentie totalement cernée, englobée dans une omniprésence de lumière, incroyablement ardente et aimante. La sérénité et l’amour inconditionnel qui en émanaient et me traversaient sont au-delà de tous les mots. »
« J’ai pris alors conscience d’une immense Lumière qui m’enveloppait complétement. Elle pénétrait mon âme, qui se trouvait comme dans un bain d’amour. C’était une présence avec une personnalité distincte. Elle était paisible et l’amour et le pardon émanaient d’elle. Je ressentais auprès d’elle un sentiment de complète sécurité, comme je ne l’ai jamais ressenti. C’était la perfection. Tout était là, dans cette Lumière. »
Un même message depuis toujours
Ces témoignages rejoignent l’enseignement de toutes les traditions spirituelles et philosophiques : le bonheur n’est pas dans « l’avoir » ou « le faire ». Il est à l’intérieur de nous, dans notre être le plus profond.
Nous avons tous une soif d’absolu, de plénitude. Malheureusement, la plupart du temps nous ne cherchons pas au bon endroit. Nous pensons trouver cette plénitude à l’extérieur de nous, dans telle relation, telle possession, telle action, etc. Et nous ne sommes jamais satisfaits parce qu’aucune relation, aucune réussite, aucune accumulation d’argent ou de biens matériels ne pourra jamais nous donner cette plénitude que nous désirons tellement.
La joie est à l’intérieur
Comme l’explique Denis Marquet dans son livre « Osez désirer tout » : derrière tous les désirs relatifs il y une recherche d’absolu et rien ne nous satisfera réellement et durablement tant que nous n’aurons pas trouvé cet absolu.
Saint Augustin le disait déjà, voici presque 2 000 ans : « [pour trouver le bonheur] je me suis rué sur la beauté des choses que Tu as créées et je ne voyais pas que la vraie source qui pouvait me satisfaire c’était Toi, la Beauté intérieure ».
C’est aussi ce que disait Jacques Lusseyran : « on vous dit que la joie est à l’extérieur. C’est faux. La joie ne vient pas du dehors. Elle est en nous, quoi qu’il arrive. Aucun évènement extérieur, même le plus paisible, ne nous donnera la joie. Et cela pour la simple raison que nous l’avons déjà ».
Lorsque nous comprenons que rien d’extérieur ne nous satisfera vraiment et durablement, nous sommes mûrs pour chercher le bonheur là où il se trouve : à l’intérieur de nous. C’est là qu’il nous attend depuis toujours.
En savoir plus sur la vie stupéfiante de Jacques Lusseyran : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Lusseyran
